Il faut savoir rester humble devant l'adversité et être particulièrement fier d'avoir été les ambassadeurs de la paix dans le monde. Aussi...



Vous avez remarqué comme il suffit d'ajouter "militaire" à un mot pour en dénaturer le sens :

- musique militaire ;

- police militaire ;

- médecine militaire ;

- justice militaire...



A Châteauroux, c'est un Maréchal-des-Logis (surement un verts !) qui est en train de s'exercer au tir avec son FSA (MAS 49/56). Il est couché sur le sol et balance quelques balles.

Lorsque le première classe Dutrou va contrôler les cibles, il crie à l'intention du Maréchal-des-Logis :

- AUCUNE BALLE DANS LA CIBLE, MARECHAL-DES-LOGIS !

Alors le Maréchal-des-Logis regarde son arme... puis regarde la cible... puis regarde à nouveau son arme... puis encore la cible.

Ensuite, il met son index gauche au bout du canon et à l'aide de son index droit, il presse la détente. Naturellement, son doigt est pulvérisé !

À ce moment là le Maréchal-des-Logis hurle en direction du soldat :

- ÇA PART D'ICI CORRECTEMENT. LE PROBLÈME DOIT SE TROUVER LÀ-BAS



Aux journées portes ouvertes d'une base militaire, trois personnes ont gagné à une tombola un tour dans un petit avion avec un général de l'armée française.

Les gagnants sont: Un scout, un vieil homme et un avocat. Tout le monde monte dans le petit avion, et une fois en l'air, le général prend la parole :

- Bonjour à vous tous. Vous savez, j'ai été celui qui a dressé les plans de cette base aérienne' et il désigne la base aérienne que l'on voit par le hublot.

Puis il ajoute :

- Et on peut dire que de faire les plans d'une telle base nécessitait vraiment quelqu'un à la clairvoyance et à l'intelligence hors du commun.

Malheureusement, dans la seconde qui suit la fin de sa phrase, une explosion réduit à néant le moteur de l'appareil, tuant par la même occasion le pilote. Rapidement, l'avion perd de l'altitude et comme personne ne sait piloter, tout le monde se met à la recherche des parachutes. Il se trouve qu'il y a trois parachutes...
Le général est le premier à en prendre un, justifiant son geste par " Je suis un des cerveaux de ce pays, je dois survivre ".

Ensuite l'avocat prend lui aussi un parachute en disant :

- Je suis indispensable à mes clients

et il saute.

Ne restent plus alors que le scout et le vieil homme. Le vieil homme regarde le jeune scout et lui dit :

- Fils, tu as toute ta vie devant toi, alors que moi, j'ai eu mon temps. C'est toi qui va prendre le dernier parachute.

Et le scout répond :

- Oh, ne vous en faites pas, il reste encore deux parachutes... Le 'cerveau' a pris mon sac à dos !




C'est le général de la DCMAT qui inspecte les rangs. Il s'approche du soldat russe qui est au garde à vous, raide comme un piquet. Il prend sa Kalachnikov et lui met un grand coup dans le dos.

Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :

- Tu as mal ?

- Niet camarade général (oui, cette blague est assez vieille) !

- Pourquoi tu n'as pas mal ?

- Parce que les soldats russes ne craignent pas la douleur !

Il s'approche alors de l'américain prend son colt et lui met un grand coup sur la tête. Le soldat ne bronche pas et le général lui demande :

- Tu as mal ?

- No mon général !

- Pourquoi tu n'as pas mal ?

- Parce que les soldats américains ne craignent pas la douleur !

Il s'approche alors du français, prend son fusil à baillonnette (je vous avais prévenu c'est une vieille blague) et la lui plante dans le pied. Le soldat ne  bronche pas et le général lui demande :

- Tu as mal ?

- Non mon général !

- Pourquoi tu n'as pas mal ?

- Parce que je chausse du 39 et ces cons de l'intendance m'ont donné du 44




La troisième guerre mondiale a éclaté. Les militaires ont trouvé le moyen d'inventer un ordinateur ultra puissant, auquel ils doivent soumettre un problème tactique particulièrement ardu. Lui ayant fait ingurgiter les données, ils posent la question fatidique : "Faut-il attaquer ou sonner la retraite ?

L'ordinateur émet quelques cliquetis, une série de bips, ses diodes se mettent à clignoter et soudain, la réponse jaillit : " OUI " !

Les généraux se regardent, perplexes. L'un d'eux décide d'agir : il s'approche du clavier et tape une autre question : " Oui quoi ? "

L'ordinateur répond, instantanément : " OUI MON GÉNÉRAL ! "



Mr Dugenou fait son service à la DCMAT. Sa sœur vient de mourir dans un accident de voiture, mais il ne le sait pas encore. Son Colonel l'apprend, via la brigade de Gendarmerie, et fait appeler l'adjudant de semaine :

- Adjudant Lafleur !

- A vos ordres mon Colonel !

- Dites-moi, Lafleur, la sœur de Dugenou est décédée ce matin. Je vous ai fait appeler pour que vous lui annonciez la nouvelle avec tact. Dugenou est un garçon sensible, et vous saurez le ménager.

- Lafleur sort du bureau du Colonel et fait sonner le rassemblement. Une fois devant la DCMAT rassemblée, il vocifère :

- Les ceusses dont la sœur est morte, un pas en avant !

Personne ne bouge.

- Dugenou ! Vous m'frez quinze jours de trou pour non obéissance aux ordres.




- Une petite unité de temps ? ... La milliseconde
- Une petite unité de longueur ? ... Le millimètre
- Une petite unité d'intelligence ? ... Le militaire !




La hiérarchie, c'est comme les étagères: plus c'est haut, moins ça sert.



A l'ESMAT, pendant les 9 mois d'école, le sergent fait passer aux engagés un test de lecture.

C'est au tour de Toto :

- Le pe..........tit laaaaaaaaaaaapin mar...cheux !

- Soldat, vous êtes con, plus con qu'un wagon !

- Comment ça sergent ?

- Parce qu'un wagon lit ( là, tout le régiment rit du gars ) !

Un peu plus tard, Exercices de groupes. Le Sergent lance :

- Rompez !

Tout le monde rompt, sauf Toto...

- Soldat ! J'ai dit rompez !

- Je ne peux pas, Sergent !

- Pourquoi ?

- Parce qu'un wagon reste au rang !




Si tous les cons pouvaient voler, le ciel serait kaki !

Pour marcher au pas d'une musique militaire, il n'y a pas besoin de cerveau...  seule la moelle épinière suffit  [Albert Einstein]




Petit topo sur la compréhension des ordres et la transmission de l'information chez les militaires :

Du Colonel au Capitaine :

Aujourd'hui à 11:33 il y aura une éclipse solaire, donc un événement que l'on ne peut pas vivre tous les jours. faites venir la troupe en tenue de sortie. Je donnerai moi-même des explications lors de l'observation de ce phénomène. S'il pleut, nous ne pourrons admirer cette éclipse; dans ce cas, la troupe devra se rendre à la cantine pour le repas.

Du capitaine à l'adjudant-chef :

Sur l'ordre du commandant du régiment, il y aura aujourd'hui à 11:33 une éclipse solaire. S'il pleut, nous ne pourrons pas bien observer le phénomène en tenue de sortie dans le terrain. Dans ce cas, nous procéderons à la disparition du soleil dans la cantine, donc quelque chose que l'on a pas l'occasion de voir tous les jours.

De l'adjudant-chef au Sergent :

Sur ordre du commandant du régiment, nous procéderons aujourd'hui, en tenue de sortie, à la disparition du soleil dans la cantine. Le commandant du régiment donnera des ordres s'il pleut, donc quelque chose qu'on ne peut pas voir tous les jours.

Du Sergent au Caporal :


S'il pleut ce matin dans la cantine, donc quelque chose qui n'arrive pas tous les jours, le commandant du régiment disparaîtra à 11:33 en tenue de sortie.

Du Caporal aux copains de chambrée :

Aujourd'hui à 11:33, notre commandant du régiment disparaîtra. Dommage que l'on ne puisse pas voir ça tous les jours.



 
Accent sud-américain nécessaire !

Le général Alcazar passe ses troupes en revue, il décide d'inspecter l'infirmerie, où 50 de ses soldats sont alités.

- Mes respects mon général !

- Quel est votre problème ?

- Hémorroïdès mon général !

- Quel traitementès ?

- Batonnès cotonnès badigeonnès !

- Quel est votre souhait le plus cher ?

- Servir toute ma vie l'armée du général Alcazar !

Le suivant :

- Mes respects mon général !

- Quel est votre problème ?

- Hémorroïdès mon général !

- Quel traitementès ?

- Batonnès cotonnès badigeonnès !

- Quel est votre souhait le plus cher ?

- Servir toute ma vie l'armée du général Alcazar !

Etc... pour les 49 premiers soldat (la nourriture mexicaine est vraiment très pimentée !).

Arrive le dernier soldat :

- Mes respects mon général !

- Quel est votre problème ?

- Anginès mon général !

- Quel traitementès ?

- Cotonnès batonnès badigonnès !

- Quel est votre souhait le plus cher ?

- Pourrait-on changer le cotonnès ?



Le produit du grade par le travail est une constante !



Pourquoi les généraux sont-ils si bêtes ?

- Parce qu'on les choisit parmi les colonels. (Elle serait, mais je n'en suis pas sûr, d'Anatole France).



Vous savez à quoi servent les deux poches latérales sur les treillis des légionnaires ?

- À mettre les pattes de la chèvre...



A sa sortie d'école, un jeune sous-officier est affecté à la DCMAT et se pointe, le premier jour, devant son nouveau chef de section qui l'interroge sur son ex-métier dans le civil.

- C'est très simple, dit le le jeune sous-officier, j'étais GLUTIER dans le civil.

- Vous êtiez quoi ?

- J'étais GLUTIER .... Je faisais des GLUS....

- Et ça consiste en quoi ?

- Et bien, heu, c'est à dire que ...., c'est difficile à expliquer, il faudrait que je vous montre, que je vous fasse une démonstration, vous comprendriez mieux...

- Bon, d'accord. Vous avez carte blanche pour me faire un GLU, finit par dire le chef de section.

Le jeune sous-officier se met au travail et exige qu'on lui exécute divers travaux préalables, absolument nécessaires à l'élaboration de son GLU :

- Creusement d'une fosse de 10 m de profondeur, 6m de long, 3 m de large ;

- Remplissage de cette fosse par de l'eau ;

- Construction, depuis la fosse, d'un plan incliné bétonné de 100 m de long, 3 degrés de dénivellation ;

- Construction d'une plate forme bétonnée horizontale à l'autre extrémité du plan incliné (longueur: 50 m) ;

- Construction d'un plan incliné pour rejoindre le sol, symétrique au premier ;

- Achat d'un camion neuf de 25 tonnes.

OUF !!!! ça y est, les spécialistes du Génie ont répondu à toutes ses exigences, le jeune sous-officier est prêt à faire son GLU.

C'est Dimanche matin, toute la DCMAT est rassemblée pour assister à cet événement qui rentrera à coup sûr dans les anales (ne corrigez pas ma faute d'orthographe, s'il vous plaît) de l'armée française.

Il monte dans le camion, le démarre (au quart de tour) le fait monter le plan incliné et vient l'immobiliser au bout de la plate-forme. Puis, il descend du camion et le pousse dans la descente. Le lourd véhicule pénètre dans l'eau et fait : SCPLOUFFFFFFF puis GLU, GLU, GLU,......




Un bataillon de paras revient d'une mission de 6 mois en Afrique. Ils sont tous félicités, un par un, par le général qui a un petit mot ou une question pour chacun.

1. Avez-vous eu peur ?

- Non mon général, des paras comme nous n'ont peur de rien.

2. Qu'auriez-vous fait si votre parachute ne s'était pas ouvert ?

- Je serais descendu en chercher un autre, mon général, parce des paras comme nous ne vont pas se faire emmerder par un parachute !

Il passe ainsi tous les gars en revue en y allant de sa petite question.

Arrivé à l'avant dernier para il est à cours d'idée.

Ce para mesure 2 m et est drôlement bien baraqué.

Il fini par lui demander :

Faisiez-vous l'amour de temps en temps ?

- 5 a 6 fois par jour pour général. C'est normal mon général. Des paras comme nous ont la santé !!!

Arrivé au denier, le petit gringalet du groupe, le général pose la même question.

Le para lui répond :

5 à 6 fois sur les 6 mois mon général. Le général, très surpris lui dit son étonnement.

- Pour un para vous m'étonnez.

- Je comprends votre étonnement, mon général, pour un para normal c'est peu, mais pour l'aumônier, c'est pas mal.




A tout problème il y a 2 solutions :

- La bonne et celle de l'École de Guerre. (Phrase de Foch)




... je vous invite à me transmettre d'autres histoires drôles (dans le même thème) que vous souhaiterez publier sur ce site.

A vous de jouer !







 
 



Créer un site
Créer un site